RÉFORME DES RETRAITES On ne lâche rien. Dans l’unité, On continue jusqu’au RETRAIT ! JEUDI 20 FÉVRIER 2020 : GRÈVE et MANIFESTATION à 10h place de la gare à Angoulême !

, par udfo16

Nos organisations syndicales revendiquent depuis plusieurs mois une amélioration du système de retraite actuel intergénérationnel et solidaire.

Cela nécessite avant tout le RETRAIT du projet actuel !

NOUVELLE JOURNÉE DE GRÈVE ET MANIFESTATION JEUDI 20 JANVIER 2020 !

Rendez vous à Angoulême à 10h place de la gare.

Tract intersyndical de la Charente :

Revue de presse FO :

Retraite : la mobilisation continue !

Contrairement aux espoirs du gouvernement, la mobilisation contre la réforme des retraites ne faiblit pas, voire s’accentue dans certaines régions et professions. Aperçu dans la presse :

AFP
 L’agence dresse un état des lieux : "De son côté, Force Ouvrière a écrit aux parlementaires pour qu’ils "n’approuvent pas" le projet de loi et qu’ils "demandent au gouvernement d’y renoncer". Dans la rue, des actions se sont poursuivies cette semaine [3-6 février], organisées notamment par des fonctionnaires (police scientifique, éboueurs, égoutiers…), "ports morts"… Les salariés du secteur de l’énergie restent aussi mobilisés, notamment dans le traitement de déchets et le nucléaire".

Le Figaro
 Dans toute la France : "Tramway bloqué par des pompiers allongés sur les rails à Nice, chaîne humaine d’avocats à Tours, intrusion d’enseignants-chercheurs dans les locaux du Medef de Lille… Les opposants à la réforme des retraites ont poursuivi leurs actions et sont redescendus dans la rue pour la neuvième fois, jeudi [6 février], contre un projet décrit comme "injuste et dangereux"".

L’Humanité
 "De nombreux agents des secteurs publics, de la santé, de l’éducation nationale… et des salariés du privé ont ainsi défilé de la gare de l’Est jusqu’à la place de la Nation. "C’est une question de survie, on se souvient que des textes de loi comme le CPE ont été annulés après avoir été adoptés", explique Julien Allayaud, égoutier dans le Val-de-Marne, bombe de peinture à la main. À ses pieds, il a dessiné la forme d’un corps sur le bitume avec l’inscription "Égoutier mort au travail"".

Sud Ouest
 Le grand quotidien aquitain n’hésite pas à titrer son article "La mobilisation sociale repart à la hausse". Il décrit la manifestation : "Hier [6 janvier], les enseignants se sont levés à l’aube pour édifier un mur de parpaings devant l’entrée du rectorat avant l’arrivée des personnels. La construction a été rebaptisée "mur du mépris"". D’après les syndicats, ils étaient plus de 8 000 manifestants dans les rues de Bordeaux : "Les cheminots, toujours équipés de fumigènes, sont nettement moins nombreux qu’au début mais, cette fois, universitaires et étudiants sont entrés dans la danse. Le nouveau sujet qui fâche est en effet la LPPR, la future loi recherche, dont les enseignants redoutent qu’elle accentue la précarité. L’Université Bordeaux-Montaigne est d’ailleurs restée fermée toute la journée".

Christophe Chiclet